SUGGESTIONS AUX TRADUCTEURS ET AUTRES UTILISATEURS (4ème édition)


De même qu'il n'y a pas de voie royale en géométrie, les traducteurs savent bien qu'il n'existe pas de dictionnaire où l'on trouve tout ce dont on a besoin. Les auteurs de cette quatrième édition sont conscients des difficultés rencontrées par les chercheurs pour obtenir une information fiable ;  ils s'engagent alors dans un processus comparable à la « pêche » d'indices dans un océan de mots. Nous dormons donc ici quelques conseils en espérant que les lecteurs excuseront les défauts rencontrés lors de l'utilisation de ce dictionnaire.

Lorsqu'iI existe un doute sur la meilleure traduction possible, le lecteur perplexe serait bien avisé de consulter d'autres sources et de comparer les définitions entre les deux langues. En réalité, cette approche constitue l'essentiel de notre conception de cet ouvrage, et nous n'avons pas hésité à confronter les termes que nous avons choisi avec ceux des dictionnaires et ouvrages monolingues (en particulier, deux excellents dictionnaires de géologie (Allaby et Allaby, 1999 ; Foucault et Raoult, 2000). Nous pensons que cette méthode a un impact important sur la validité et la cohérence de la terminologie utilisée dans notre ouvrage.

Tout d'abord, cet ouvrage n'a pas été conçu pour offrir une information encyclopédique, et encore moins pour donner une couverture complète des sciences de la Terre. Néanmoins, notre expérience d'enseignement universitaire, conjuguée à celle de la traduction spécialisée professionnelle, nous a permis de juger de la qualité de nombreuses sources disparates. Lorsque nous considérons qu'une traduction est inappropriée, mal interprétée ou erronée, nous notons cette anomalie et la corrigeons.

Dans le système adopté ici, certains mots en vedettes sont qualifiés d’ « inhabituel », « désuèt » ou « rare », alors que les termes préférés sont qualifiés de « better ». Les informations imprimées en caractère gras, présentées entre parenthèses après l'entrée principale, sont proposées comme des contextes. Par ailleurs, les termes équivalents proches sont séparés par des virgules sans ordre particulier de préférence, et les synonymes sont indiqués « syn ».

Les codes des différents domaines scientifiques (voir liste ci-dessus) sont imprimés en italique, après la traduction équivalente appropriée dans la partie anglais-français, alors qu'ils figurent après l'entrée principale dans la partie français-anglais (sauf dans le cas de sous-entrées complexes). Suivant le cas, on utilise un point-virgule pour séparer différentes nuances de signification de la traduction d'un terme donné. Pour résoudre certains cas complexes, nous numérotons les différents termes équivalents suivant leur domaine. On ne doit pas considérer les courtes notes explicatives, indiquées entre parenthèses après certains termes, comme des définitions ; elles aident simplement à éviter des ambiguïtés possibles et des pièges.

De nombreux acronymes et abréviations figurent entre parenthèses après certains termes, mais le lecteur peut consulter la liste insérée à la fin du dictionnaire, pour une compilation plus complète.

Pour distinguer les variantes orthographiques, nous indiquons les différences entre les orthographes américain et anglais (britannique), en plaçant les initiales de ces deux pays entre parenthèses, après les termes en question, par exemple : modelling (GB) et modeling (US).

D'autres types de variantes n'ont pas une origine géographique, par exemple « feldspar », « feldspathic » et « feldspathoid » sont les formes les plus fréquemment utilisées en anglo-américain. Mais les formes « felspar », « felspathic » et « felspathoid » se rencontrent encore dans certaines publications. Ces variantes figurent en caractères gras après l'entrée, séparées par des virgules.




Décimales, virgules et dates

Examinez les différentes conventions utilisées en français pour indiquer les décimales et séparer les milliers (0,25 pour un quart et 25.000 pour vingt-cinq mille). Ces règles sont le contraire de celles utilisées dans les pays anglophones (0,25 et 25,000). Pour faciliter la lecture des chiffres, on peut les subdiviser en groupe de trois par un espace (c'est-à-dire 25 000). Au risque d’augmenter la confusion, les dates du calendrier utilisées en américain sont indiquées généralement dans un ordre différent de l'anglais (par exemple, le « 9th November 2003 » peut aussi s’écrire « November 9th 2003 » et en abrégé, le 09.11.03 au Royaume-Uni et le 11.09.03 aux Etats-Unis.

Unités et symboles scientifiques

Les symboles et préfixes utilisés par le   « Système International des Unités »    sont  codifiés  par le  « Bureau International des Poids et Mesures » ; le site Internet officiel du Système International, en France est :

http://www1.bipm.org/en/si/

Pour consulter des tableaux de conversion, avec symboles et abréviations, voir « A Dictionary of Units » de Frank Tapson (Exeter University, UK), consultable en ligne :

http://www.ex.ac.uk/cimt/dictunit/dictunit.htm

Un tableau sommaire des facteurs de conversion les plus fréquemment utilisés figure en annexe de la présente édition.

On  observe une erreur fréquente en anglais : « many kms » (plusieurs km) devrait être écrit  « many km » pour éviter une confusion  avec « km.s = km per second ».

On doit faire aussi attention à ne pas mélanger les symboles de la seconde et du volt avec ceux de siemens (conductance électrique : S) et de sievert (équivalent de dose: Sv).


Noms géographiques et localités

En français, l'océan Atlantique ; en anglais, Atlantic Ocean (l'adjectif et le nom catégoriel s’écrivent avec une lettre initiale majuscule).

De même le bassin de Paris =  the Paris Basin, et non pas « the Paris basin ».

Les traducteurs ont quelquefois besoin de consulter une carte pour étudier la situation géographique. Par exemple, est-ce que « au nord du bassin de Paris » indique une région située dans ce bassin sédimentaire, ou juste en dehors ? On peut contourner ce problème en utilisant « la partie septentrionale de » ou « plus au nord que », suivant le cas.

Bien que la rive gauche de la Seine soit familière aux touristes, les anglophones trouvent plus pratique d'utiliser les directions cardinales (par exemple, la rive sud de la Tamise).


Noms stratigraphiques et tectoniques

En français,  Tertiaire inférieur = Lower Tertiary (le nom et l'adjectif ont leur lettre initiale en majuscule) ; vieux grès rouge = Old Red Sandstone ; système (et période) Crétacé  System (and period) Cretaceous ; époque Holocène = Holocene Epoch. Les règles de la nomenclature anglaise sont codifiées par une commission internationale de l'I.U.G.S (« International Stratigraphic Chart ») ; on peut les consulter au site :

http://www.iugs.org/

Les intervalles des  temps   géologiques  sont   subdivisés en inférieur, moyen et supérieur   (« early, middle et late »), alors que les formations stratigraphiques correspondantes sont qualifiées de « lower, middle et upper »  en  anglais. Les noms des orogenèses ne sont pas codifiés comme ceux des unités stratigraphiques et la tendance actuelle est de parler en termes d'objets (chaîne varisque ou Variscides) plutôt que d'épisodes (orogenèse varisque).


Traits d'union

En anglais comme en français, on utilise les traits d'union pour associer les adjectifs qualifiant un nom, par exemple, un grès gris-vert. Cependant, un modificateur adjectival peut élirniner le besoin d'un trait d'union, par exemple, un grès vert grisâtre. Lorsqu'on utilise fréquemment des noms composés avec trait d'union (p.ex., « beach-ridge », « ground-water », « Iand-mark »), on a tendance à les fusionner en un seul mot. Ainsi, on obtient « beachridge, groundwater et landmark », qui sont utilisés comme adjectifs et comme noms. Malgré tout, certaines locutions terminologiques usuelles sont formées de mots séparés, par ex., « sea level » et « water table ». Dans ce cas, on utilise un adjectif à trait d'union pour qualifier le phénomène ou l'objet impliqué, par ex. « sea-level rise » ou « water-table level ».



Erreurs communes

Accident (fr.) signifie une ligne de faille ; accidenté (fr.) désigne un fort relief ou un terrain faillé. Néanmoins, certains types de concrétions sont appelés « accidents » en français, alors qu'un terrain peut être décrit comme « accidenté » alors qu'aucune faille n'est impliquée. Pour éviter ce malentendu, le terme accident ne doit jamais être traduit comme « accident » dans le sens de l'implication du hasard.

Actuellement (fr.) signifie « à présent » ou « maintenant ». Presently (angl.) est un terme ambigu aux U.S.A., car il signifie « au moment présent » ; au Royaume-Uni, il signifie « bientôt, ou peut-être la semaine prochaine ».   Pour plus de clarté, nous écrivons « à l'instant présent » ou « maintenant ».

Actual est utilisé en anglais comme adjectif pour signifier « réel » ou « authentique », alors que l'adverbe actually est équivalent à « réellement » ou « en réalité ».

Actualism en anglais et actualîsme en français signifient la même chose, c'est-à-dire la philosophie d'interprétation du passé par des arguments réels de l'époque actuelle, mais en géologie, il est préférable d'utiliser le terme classique « uniformitarisme ».

Altitude (fr.) signifie hauteur, altitude. Altitude (angl.) se rapporte plutôt aux hauteurs des couches atmosphériques et non au relief terrestre (« elevation ») ; par exemple, un avion à réaction vole à 9 000 m de hauteur au-dessus du Mt Everest, lequel a une altitude de 8 000 m.

Arctic et Antarctic (angl..) sont fréquemment mal orthographiés en américain;  « Artic »  et  « Antartic » (le « c » du milieu est omis).

Datation (fr.) ne doit jamais être traduit par « datation » en anglais. En réalité, « datation » est un exemple d’un calque incorrect. D'autres termes de ce type sont « alimentation » et « basculating », qui sont utilisés de façon erronée en géologie au lieu de « supply » (apport) et « tilting » (basculement).

Disposer de (fr.) signifie « avoir » ou « garder » et non pas « se débarrasser » (« to dispose of »).

Défendre (fr.) peut signifier  « protéger »   aussi bien que « interdire ».

Estimer ( fr.) est souvent mal traduit par « to estimate », mais il signifie aussi « to consider ».

Eustatisme (fr.) et eustasy  (angl.) : bien que le suffixe « -ism » s’applique aux systèmes philosophiques et politiques (p.ex. marxisme, existentialisme et conservatisme), il est assez rarement utilisé en géologie (p. ex. neptunisme. plutonisme, uniformitarisme et métamorphisme). Eustatisme vient du mot grec « stasis » (comme dans isostasie,  qui donne l'adjectif isostatique). Pour d'autres raisons étymologiques, le nom « analyse » engendre le verbe « analyser », mais de nombreux anglophones (et des correcteurs orthographiques automatiques) persistent à utiliser le verbe « to analyze » plutôt que « to analyse ».

L'utilisation des termes « évidence, évident et évidemment » (fr.) est délicate, car ils impliquent l'existence d'un fait réel.     Cependant   la  langue anglaise est plus prudente, en utilisant seulement    « evidence » (souvent traduit par « preuves » en français) avant de parvenir à une conclusion. On doit se souvenir que rien n'est évident en science, si bien que le lecteur préférera un exposé avec « évidemment » ou « manifestement » plutôt que  « bien sûr ».

Extension (fr.) en tectonique qualifie la distension ou l'étirement subi par les roches dans un régime d'extension. En géographie, cependant, la traduction correcte en anglais est « extent ».

Lorsqu'il    est      utilisé    dans  un    contexte   géologique,    important   (fr.)   signifie    « épais »,     « considérable », « volumineux » ou « majeur » (pratiquement jamais « important » dans le sens anglais).

Le terme intérêt (fr.) peut être traduit par « interest » seulement lorsqu'il s'agit de questions financières. Dans d'autres contextes, il peut correspondre à « advantage » ou « importance ». Par exemple, une méthode peut être qualifiée « of interest », si elle présente certains avantages. Il convient     de      traduire     l'antonyme  « inconvénient »   par  « disadvantage »  et   non   pas   par   « inconvenience ».

Permettre (fr.) peut être traduit de différentes façons suivant le contexte, mais le plus fréquemment en anglais, il signifie « rendre possible » ou simplement « amener à » ; noter que « to enable »,  « to allow » et « to permit » sont encore plus difficiles à traduire correctement.

Présenter (fr.) peut être utilisé dans le sens de « to exhibit »  (montrer)  une caractéristique,  alors que « to present a syrnptom » est utilisé seulement en médecine.

Pétrole (if.) est normalement l'équivalent de « petroleum », mais il peut être aussi utilisé pour désigner la fraction d'hydrocarbures appelée paraffine en anglais et kérosène en américain. Pire encore, le pétrole (en anglais) est appelé « gas » en américain.

« To precise » n'est pas un verbe en anglais : préciser (fr.) peut être traduit par « to specify », « to detail », « to stipulate », ou même « to determine », suivant le contexte.

Prétendre (if.) est un faux ami classique et ne doit jamais être traduit par « to pretend ». En fait, il signifie  « to claim »  (prétendre que)  ou  « to maintain »  (affirmer que).    La traduction correcte de « pretend » en français est « faire semblant ».

Réaliser (fr.) signifie normalement « to carry out », alors que « to realize » s'applique à l'état de devenir conscient de quelque chose.

Vaste (fr.), en géologie, signifie « large »,  « étendu »  (pratiquement jamais « vast »,  qui est
un terme mieux utilisé pour les distances astronomiques, ou pour une masse volumineuse de matériaux).


Utilisation des temps et description des événements passés

Bien que l'utilisation du temps « présent immédiat » rende les événements historiques plus vivants, il est habituellement préférable d'utiliser le passé composé ou l’imparfait pour décrire une séquence d’événements. Par exemple, « les sédiments ont étés déposés pendant le Crétacé, lorsque les dinosaures parcouraient la
Terre ».

La traduction de depuis (fr.) pose  un  problème  considérable, parce qu'on peut  traduire  ce mot  par « since », « from » ou « for », suivant la façon dont l'événement est défini (à partir d’une époque spécifique, ou pour une durée donnée). Ainsi, on devrait écrire: « aucun dinosaure n'a pu être trouvé, puisqu'ils sont éteints depuis la fin du Crétacé ». Lorsque l'événement a lieu de façon intermittente, ou pendant un certain intervalle de temps, il est plus logique d'utiliser « during » (« pendant » ou « au cours de » en français), comme dans l'exemple suivant : « Les dinosaures parcouraient la Terre pendant le Crétacé ». Cependant, « dinosaurs began to roam  the Earth from Jurassic times onwards » est traduit par « les dinosaures ont commencé à errer sur la Terre à partir du Jurassique ».
Eviter le style impersonnel et le passif

L'auteur(s) d'un article scientifique en anglais accepte sa responsabilité en utilisant la première personne ; il ne doit pas s'abriter derrière la forme passive. On peut utiliser la forme passive, lorsque l'auteur est inconnu, ou si l'on souhaite rester vague sur la responsabilité.


Mots de liaison au début d'une phrase

Le style est amélioré en anglais lorsqu'on place un mot de liaison au début d'une phrase, suivi par une virgule, s’il y a une relation nette avec la phrase précédente ou la proposition suivante, par exemple : However (cependant),.. Moreover (de plus),.. Finally (finalement)…Thus (donc),… En anglais, « since » peut exprimer une relation logique ou chronologique, ce qui explique pourquoi certains éditeurs insistent pour le remplacer par « as » (comme) pour éviter toute ambiguïté. Cependant,  le  contexte  peut  indiquer le sens choisi, si bien qu'il est préférable d'utiliser « since » ou    « because », plutôt que de risquer une confusion  éventuelle avec une structure utilisant « as »


Formes possessives

On doit éviter les génitifs avec apostrophe et les contractions idiomatiques dans les textes scientifiques (sauf pour certains termes techniques, tels que « Pelée's hair, Stokes' law, etc.). Evitez aussi le célèbre « electrocution's danger », et souvenez-vous que les objets inanimés et les concepts abstraits sont accompagnés de « of ».


Abstrait vs concret

Certains concepts du français sont traduits comme  s'il  s'agissait d'objets   en   anglais ;  par exemple,   « volcanisme » en français est souvent l'équivalent de « roches volcaniques » en anglais, mais peut signifier aussi « volcanic activity » ou même « volcanicity »). Ceci peut provoquer une confusion entre l'objet et le processus; par exemple, « magmatisme » peut signifier soit un cortège magmatique plutonique, soit un épisode d'activité magmatique.

Le terme « orogeny » (angl.) correspond à une phase d'édification d'une chaîne montagneuse, qui survient dans une certaine partie de la croûte terrestre (telle que la phase orogénique varisque). En français, ce concept est traduit par « orogenèse », qui englobe non seulement le processus lui-même, mais aussi la formation de zones orogéniques spécifiques.

Au sens strict, le processus de formation des montagnes devrait être appelé « orogenesis » en anglais (ou diastrophisme en français), alors que le résultat est une zone orogénique ou un orogène. Le concept dépassé du    « cycle orogénique » est basé sur la théorie des géosynclinaux, et doit être évité dans    une        traduction.   Il est préférable d'utiliser des termes tels que « phases de déformation »,           « événement tectonométamorphique » ou « activité tectonique ».

Faux amis

Il faut prendre conscience des difficultés causées par les « faux amis » dans les deux langues. Par exemple, « schist » (angl.) est équivalent à « schiste cristallin » (fr.), alors que « schiste » ou « schiste argileux » en français peut être traduit par « shale » en anglais. On peut habituellement éviter ces pièges en se référant aux définitions des termes. Dans ce dictionnaire, nous proposons des brèves explications pour résoudre ce type de problème. Grâce à une comparaison soigneuse des entrées des parties  anglais-français  et  français-anglais,   on  constate  que  « shaly »  n'a  pas le même  sens que « schisteux » et doit être traduit par « argileux ». Le terme « phyllite » (en anglais) est un exemple d’un faux ami particulièrement traître, car  il désigne   un   type   de roche   correspondant   au  terme « phyllade » en français, alors que « phyllite » en français indique un minéral appartenant aux phyllosilicates.

Dans un domaine particulier, le lecteur trouvera plusieurs mots, ayant le même sens dans une langue, mais seulement un seul dans  l'autre. Par exemple,   en   dehors  du  domaine fiscal,   « abatement » en anglais désigne des méthodes de contrôle ou de diminution de certaines quantités. En français, par ailleurs, « abattement » peut désigner une méthode pour obtenir cette diminution, ainsi que la quantité impliquée. Ainsi, on parle de la réduction du bruit, mais on mesure l’abattement du flux (de nitrate) grâce à la lutte contre la pollution.
 

Annexe aux références

Pendant les différentes phases de révision de cette 3eme édition du dictionnaire, la terminologie a été verifié par rapport aux entrées dans une base de données développé par Dr M.S.N. CARPENTER. Cette base de données (GEOBASE) est distribuée par "European Language Resources Distribution Agency", 55-57 rue Brillat-Savarin, 75013 PARIS.


Sources principales exploitées pour le recueil des fiches terminologiques

CILF, Banque des Mots 8 et 25 (Géotechnique; Glissements de terrains) ; CILF, Banque des Mots 30 (Vocabulaire de la sismologie) ;  CILF, Banque des Mots 37 (Erosion - Transport - Sédimentation : RAMPON)  ; CILF, Banque des Mots 39 (Nodules polymétalliques : JÄGER) ;  CILF, Banque des Mots 44 (Vocabulaire de la sismologie) ;  CILF, Banque des Mots 44 (Vocabulaire de la tectonique: NICOLAS) ;  CILF, Vocabulaire de l'Hydrologie et de la Météorologie, 1978   CILF, Vocabulaire de la Géomorphologie, 1979  ; CILF, Dictionnaire de l'Environnement, 1992 ;  MERLE, 1994 - "Nappes et chevauchements..." Editions Masson  ; ROUTLEDGE, 1994 - Dictionnaire Technique français-anglais.


Autres sources consultées

ALLABY & ALLABY, 1990 - Concise Oxford Dictionary of Earth Sciences - Oxford University Press ;  CARA, 1989 - "Géophysique", Editions Dunod ;  FOUCAULT & RAOULT, 1995 - Dictionnaire de Géologie, Editions Masson ;  GILLULY et al., 1968 - "Principles of Geology", Freeman ;  GRAU, 1994 - Glossaire des principaux termes techniques de la prospection sismique, Editions Technip  ; HARRAP'S Science Dictionary, 1985 ; HILLS, 1963 - "Elements of Structural Geology", Methuen ;  HOLMES, 1965 - "Principles of Physical Geology", Nelson ;  LE PETIT ROBERT, 1972 - Société du Nouveau Littré ;  LONGMAN Dictionary of the English Language, 1993 ;  MOUREAU & BRACE, 1993 - Dictionnaire des sciences et techniques du pétrole ;  MICHEL & FAIRBRIDGE, 1992 - Dictionnaire des Sciences de la Terre.


Autres ouvrages consultés - traductions de M.S.N. CARPENTER.


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